Mon club business
Les gens veulent investir eux-mêmes, pour qu’on dise oui tu es fort ah toi seul tu as acheté ça non moi je n’ai aucun ego bon c’est dur il y a quand même un peu mais j’ai pas d’ego, j’ai fait tout ce que j’avais à faire donc je pense que c’est le moment de faire fructifier l’argent et de rendre les autres riches également, j’étais surpris quand quelque chauffeur disait, vous faites comme des blanc hein vous n’êtes pas venu pour parce qu’il y a des chauffeurs qui travaillent pour d’autres personnes mais vous faites comme les blancs et c’est cette phrase que je veux qu’on arrête de dire c’est pas parce qu’on es noir qu’on sait pas faire des belles choses qu’on ne peut pas être organisé qu’on ne peut pas être structuré.
Comment j’ai fait pour lancer mon club business en 3 mois?
La puissance deux chose ma servie pour le faire, on à lancer 20 véhicules mais l’objectif est d’avoir 200 véhicules donc on à fait 10% de l’objectif en seulement 3 mois, et ça c’est vraiment en dehors de ce que moi j’ai déjà à titre personnel parce qu’il faut comprendre que c’est un investissement avec des gens avec des investisseurs qui vivent dans la diaspora où en Afrique et comment on l’a fait? C’est le mélange de deux ingrédients, le premier ingrédient le plus important la force du groupe, c’est peut-être que j’aurais acheté 10 véhicules en plus, le fait qu’on soit avec plusieurs personnes on en achète 200 les 20 véhicules sont juste les prémices de ce qu’on va acheter donc la force de se mettre ensemble. Moi j’étais fatigué que plusieurs parle de se mettre ensemble qu’il ne se foute rien donc je me suis dit un moment donné on va faire les choses comme il se doit, et quand je viens sur youtube c’est un peu pour ça c’est pour lancer des projets ensemble donc ça c’est le premier ingrédient.
Le deuxième ingrédient c’est l’expertise c’est à dire ce n’est pas la première fois que j’investis dans les transports, j’investis dans les transports depuis 2012 donc je sais les rouages je sais les erreurs à éviter j’ai perdu jusqu’à 30 milles euros en 2012 dans le business du taxi donc je sais comment il faut faire les choses et comme je sais comment il faut faire les choses c’est parti très vite on a mis un système très très intéressant en place ça a été du bon boulot et tout ça parce que on a fait ensemble parce qu’il y a l’expertise d’un investisseur de qualité.
Je dis au lieu que les gens continuent d’investir tout seul en rang dispersés c’est le moment de s’unir et pas qu’au bout des lèvres mais concrètement.